La Banque Nationale du Canada complète un placement secondaire d'actions de catégorie A de Fiera Capital English
MONTRÉAL, le 12 mars 2015 /CNW Telbec/ - La Banque Nationale du Canada (la « Banque Nationale ») et Corporation Fiera Capital (« Fiera Capital ») ont annoncé aujourd'hui la réalisation d'un placement secondaire par la Banque Nationale, par l'intermédiaire d'une de ses filiales, par voie d'un placement privé par voie de prise ferme, de 9 083 000 d'actions de catégorie A à droit de vote subalterne (les « actions de catégorie A ») de Fiera Capital au prix de 12,60 $ par action de catégorie A pour un produit brut de 114 445 800 $ (le « Placement »). Fiera Capital n'a reçu aucune part du produit du Placement. Les actions de catégorie A achetées dans le cadre du Placement sont assujetties à une période de retenue de quatre mois se terminant le 13 juillet 2015, comme cela est exigé en vertu des lois sur les valeurs mobilières applicable.
Le Placement a été effectué par voie de prise ferme avec un syndicat de preneurs fermes dont les chefs de file étaient la Financière Banque Nationale inc., GMP Securities L.P. et Banque Scotia.
Les actions de catégorie A ont été vendues au Canada par voie de placement privé en vertu de dispenses accordées à l'« investisseur qualifié » aux termes du Règlement 45-106 et d'autres dispenses acceptées d'un commun accord.
Les actions de catégorie A visées par le Placement n'ont pas été enregistrées au titre du U.S. Securities Act de 1933 sous sa forme modifiée et ne peuvent faire l'objet d'un placement ou d'une vente aux États-Unis à moins d'un enregistrement ou d'une exonération d'application de l'obligation d'enregistrement. Le présent communiqué de presse n'est ni une offre de vente ni la sollicitation d'une offre d'achat, et il n'y aura aucune offre, sollicitation ou vente de titres dans quelque territoire que ce soit où une telle offre, sollicitation ou vente serait illégale.
À propos de Corporation Fiera Capital
Corporation Fiera Capital est un important gestionnaire de portefeuille indépendant canadien, inscrit en Bourse, avec plus de 86 milliards $CA d'actifs sous gestion. Fiera Capital est l'une des rares sociétés de gestion de placements à service complet au Canada à avoir toute la gamme des produits et des services et à posséder une expérience confirmée en gestion de portefeuilles d'actions et de titres à revenu fixe canadiens et étrangers ainsi qu'un savoir-faire étendu et spécialisé en répartition d'actifs et en placements non traditionnels. Aux États-Unis, les services de gestion d'actifs sont offerts par les filiales américaines de Fiera Capital, qui servent les clientèles institutionnelles et privées sous la bannière Fiera Capital Global Asset Mangement. Fiera Capital est aussi propriétaire de Bel Air Investment Advisor LLC, une société conseil américaine spécialisée en gestion de patrimoine, exploitée en tant qu'entité autonome. Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site www.fieracapital.com.
On peut obtenir de plus amples renseignements sur la Fiera Capital, y compris sa notice annuelle, sur le site du SEDAR, à l'adresse www.sedar.com
À propos de la Banque Nationale du Canada
Forte d'un actif de 214 milliards de dollars au 31 janvier 2015, la Banque Nationale du Canada (www.bnc.ca), avec ses filiales, forme l'un des plus importants groupes financiers intégrés canadiens. Elle emploie plus de 20 000 personnes et est un employeur de choix reconnu. Ses titres sont cotés à la Bourse de Toronto (TSX : NA). Suivez ses activités par l'entremise des réseaux sociaux et prenez la mesure de son engagement social en visitant jecomprends.ca et engagement.banquenationale.ca.
Mise en garde à propos des déclarations prospectives
Pour Fiera Capital
Le présent document peut contenir des déclarations prospectives à propos de Fiera Capital. Ces déclarations concernent des événements futurs ou des résultats anticipés de Fiera Capital, et sont fondées sur les attentes de la direction au sujet d'événements futurs, y compris la conjoncture commerciale et économique, ainsi que la croissance, les résultats d'exploitation, la performance, les perspectives commerciales et les occasions d'affaires de Fiera Capital. Ces déclarations reflètent les attentes actuelles de la direction et s'appuient sur les informations auxquelles cette dernière a actuellement accès. Les déclarations prospectives se remarquent parfois par l'utilisation de termes comme « peut », « va », « devrait », « s'attend », « planifie », « prévoit », « croit », « estime », « prédit », « a le potentiel », « poursuit », « vise », « a l'intention de », ou la forme négative ou d'autres variantes de ces expressions.
De par leur nature, les déclarations prospectives comportent des risques et des incertitudes, tant généraux que particuliers, et un certain nombre de facteurs peuvent faire en sorte que les événements et les résultats réels diffèrent de façon importante des résultats présentés dans les déclarations prospectives. Aux fins d'évaluer ces déclarations, les lecteurs sont invités à tenir compte en particulier des divers facteurs qui peuvent faire en sorte qu'il existe un écart important entre les résultats réels et les résultats présentés dans les déclarations prospectives.
Ces facteurs comprennent notamment la conjoncture du marché et la conjoncture économique, la nature de l'industrie des services financiers ainsi que les risques et incertitudes décrits de temps à autre dans les états financiers intermédiaires et annuels consolidés, dans le rapport annuel et dans la notice annuelle de Fiera Capital, qui sont déposés sur SEDAR, à l'adresse www.sedar.com. Ces déclarations prospectives sont faites en date du présent document, et Fiera Capital ne s'engage d'aucune façon à les mettre à jour ou à les réviser afin de tenir compte de nouveaux événements ou de nouvelles circonstances.
Pour la Banque Nationale
À l'occasion, la Banque fait des déclarations prospectives écrites et verbales, notamment celles contenues dans les sections « Principales tendances économiques » et « Perspectives pour la Banque Nationale » de son rapport annuel relatif à l'exercice clos le 31 octobre 2014 (le « Rapport annuel ») , ainsi que dans d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation canadiens et d'autres communications, et ce, aux fins de décrire le contexte économique dans lequel la Banque évoluera au cours de l'exercice 2015 et les objectifs qu'elle souhaite atteindre au cours de cette période. Ces déclarations prospectives sont faites conformément aux lois sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada et aux États-Unis. Elles comprennent, entre autres, des déclarations à l'égard de l'économie - notamment les économies canadienne et américaine -, de l'évolution des marchés, des observations concernant les objectifs de la Banque et ses stratégies pour les atteindre, du rendement financier prévu de la Banque et de certains risques auxquels la Banque est confrontée. Ces déclarations prospectives sont habituellement marquées par l'usage de verbes au futur et au conditionnel ou par l'emploi d'expressions comme « prévoir », « croire », « estimer », « projeter », « s'attendre à », « avoir l'intention de » et autres termes ou expressions similaires.
En raison de leur nature même, ces déclarations prospectives supposent l'élaboration d'hypothèses et elles comportent donc nécessairement des risques et des incertitudes d'ordre général et particulier. Les hypothèses qui ont trait à la performance des économies du Canada et des États-Unis en 2015 et à leurs effets sur les activités de la Banque figurent parmi les principaux facteurs pris en considération au moment de déterminer les priorités et les objectifs stratégiques et de fixer les objectifs financiers, notamment en ce qui a trait à la provision pour pertes sur créances. Au moment d'établir les prévisions de croissance économique en général et dans le secteur des services financiers en particulier, la Banque s'appuie surtout sur les données économiques historiques fournies par les gouvernements du Canada et des États-Unis et leurs organismes.
Il est fort possible que les projections expresses ou implicites contenues dans ces déclarations prospectives ne se réalisent pas ou se révèlent inexactes. La Banque recommande aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que divers facteurs, dont plusieurs sont indépendants de la volonté de la Banque, pourraient faire en sorte que les résultats, les conditions, les mesures ou les événements futurs varieront sensiblement des objectifs, attentes, estimations ou intentions figurant dans ces déclarations prospectives. Ces facteurs incluent notamment le risque stratégique, le risque de crédit, le risque de marché, le risque de liquidité, le risque opérationnel, le risque de réglementation, le risque de réputation et le risque environnemental, lesquels sont décrits plus amplement dans la section « Gestion des risques » débutant à la page 61 du Rapport annuel, et plus précisément la conjoncture économique générale et les conditions du marché financier au Canada, aux États-Unis et dans certains autres pays où la Banque exerce ses activités, y compris la modification à la réglementation touchant les activités de la Banque et affectant les fonds propres et les liquidités, la situation entourant les billets restructurés des conduits de véhicules d'actifs cadres (VAC), notamment la valeur de réalisation des actifs sous-jacents; les modifications apportées aux conventions et méthodes comptables que la Banque utilise à des fins de présentation de sa situation financière, y compris les incertitudes liées aux hypothèses et aux principales estimations comptables; les lois fiscales en vigueur dans les pays où la Banque est présente, principalement le Canada et les États-Unis (y compris la loi intitulée Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA) aux États-Unis); les modifications aux lignes directrices sur les fonds propres et la liquidité ainsi que les instructions relatives à leur présentation et leur interprétation; les changements aux cotes de crédit attribuées à la Banque; les perturbations potentielles à l'égard des systèmes de technologie de l'information de la Banque, y compris l'évolution des risques liés aux cyberattaques.
La liste des facteurs de risques susmentionnés n'est pas exhaustive. Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs sont fournis dans les sections « Gestion des risques » et « Autres facteurs de risque » du Rapport annuel. Les investisseurs et autres personnes qui se fondent sur les déclarations prospectives de la Banque doivent considérer soigneusement les facteurs susmentionnés ainsi que les incertitudes et les risques qu'ils comportent. À moins que la loi ne l'exige, la Banque ne prévoit pas mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit, verbale ou écrite, qu'elle peut faire ou qui peut être faite en son nom de temps à autres.
L'information prospective contenue dans le présent document est destinée à l'interprétation des renseignements contenus dans ce document et pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
SOURCE Banque Nationale du Canada

(Les numéros de téléphone ci-dessous sont à l'usage exclusif des journalistes et des autres représentants des médias.) : Pour Fiera Capital : Mélanie Tardif, CPA, CMA, Vice-présidente, Communications d'entreprise et relations avec les investisseurs, Corporation Fiera Capital, Téléphone : 514-954-6456, [email protected]; Pour la Banque Nationale du Canada : Claude Breton, Vice-président, Affaires publiques et Relations investisseurs, Banque Nationale du Canada, Téléphone : 514-394-8644; Hélène Baril, Directrice principale, Relations investisseurs, Banque Nationale du Canada, Téléphone : 514-394-0296
Partager cet article