SONDAGE DE CO-OPERATORS : QUAND LES MAUVAIS CONSEILS FINANCIERS COÛTENT CHER - ÉMOTIONNELLEMENT ET FINANCIÈREMENT English
Entre conseils contradictoires, « règles » dépassées et clivage marqué entre les genres, l'urgence
d'un accompagnement humain et expert est manifeste
GUELPH, ON, le 28 oct. 2025 /CNW/ - Les mauvais conseils abondent et les Canadiens et Canadiennes en paient le prix sur les plans financier et émotionnel. Un nouveau sondage national mené par Co-operators révèle que près du tiers des répondantes et répondants (32 %) affirment avoir été pénalisés par de mauvais conseils financiers. Les effets sont tangibles : 49 % ont perdu de l'argent, 26 % ont souffert de stress accru ou d'anxiété et 16 % ont dû reporter d'importants projets financiers.
Selon le sondage, sept personnes sur dix (70 %) se disent confiantes dans leur capacité à repérer les mauvais conseils. En creusant davantage, on découvre une situation bien moins linéaire qu'il n'y paraît. Près d'un tiers des personnes sondées (32 %) reconnaissent avoir suivi des recommandations qui leur ont nui financièrement. Pour plus des trois quarts d'entre elles, le préjudice était d'ordre financier : 77 % déclarent avoir perdu plus de 1 000 $, la génération Y étant la plus touchée (80 %).
Entre chaos informationnel et saturation numérique
Le sondage révèle que les Canadiennes et Canadiens peinent à s'y retrouver dans la masse d'information financière confuse et souvent contradictoire. Près de la moitié (48 %) déclarent que le flot de conseils divergents les submerge, et six sur dix attribuent cette confusion aux réseaux sociaux. Lorsqu'il est question de regrets financiers, les jeunes générations se sentent particulièrement concernées. Parmi la génération Y, une personne sur cinq (19 %) affirme avoir suivi de mauvais conseils provenant des réseaux sociaux. Chez la génération Z, qui a grandi dans la culture numérique, cette proportion grimpe à un sur trois (31 %). Par ailleurs, 15 % déclarent avoir suivi des conseils trompeurs lus sur des forums, et 10 % reconnaissent avoir pris une mauvaise décision sous l'influence de contenus produits par l'intelligence artificielle.
« Malgré un accès à l'information plus vaste que jamais, près de la moitié des Canadiennes et Canadiens (47 %) reconnaissent avoir commis des erreurs financières qui auraient pu être évitées avec un accompagnement plus éclairé », a déclaré Jess Baker, première vice-présidente et cheffe des ventes au détail chez Co-operators. « Le défi n'est pas de trouver de l'information, mais bien d'en faire le tri. Co-operators s'engage à jouer ce rôle de filtre. Face à la cacophonie financière, nos conseillères et conseillers chevronnés offrent un accompagnement clair, fiable et personnalisé. »
Des règles dépassées face à la réalité économique actuelle
Malheureusement, le brouhaha numérique n'est qu'une partie du problème. Le sondage révèle que, sauf pour la génération Z, les mauvais conseils financiers proviendraient surtout de l'entourage, les cercles amical et familial étant les premières sources citées. Avec une moyenne nationale de 31 %, ce constat soulève des questions sur la validité des « règles » classiques (et donne peut-être raison aux jeunes qui se plaignent que leurs parents ne comprennent pas leur réalité).
Les jeunes générations (Y et Z) sont critiques face aux conseils financiers reçus de leur entourage : moins de la moitié (45 %) les relayeraient. Les membres de la génération Z se disent plus de deux fois plus susceptibles de ressentir une pression à suivre ces conseils et à gérer leurs finances comme leurs parents l'ont fait (36 % contre 14 % chez les baby-boomers et 20 % chez les membres de la génération X).
Un clivage homme-femme qui se creuse
Le sondage révèle également un écart croissant entre les femmes et les hommes en matière de perspectives financières, ainsi qu'un scepticisme accru chez les femmes. Seules 38 % des milléniales estiment que les conseils reçus des générations précédentes sont encore pertinents aujourd'hui, contre 48 % des hommes de la même tranche d'âge. Cet écart se confirme dans la génération Z : 34 % des femmes jugent ces conseils toujours pertinents, contre 46 % des hommes. Les femmes reçoivent plus souvent des mises en garde sur l'usage des cartes de crédit, tandis que les hommes sont davantage incités à investir dans des actifs risqués, comme les cryptomonnaies et les actions individuelles.
Ce scepticisme semble toutefois porter ses fruits. Bien que les hommes (76 %) se disent plus confiants que les femmes (65 %) dans leur capacité à repérer les mauvais conseils, ils sont presque deux fois plus nombreux à en avoir été victimes (40 % contre 24 %) et à avoir subi des pertes plus importantes.
La valeur des conseils professionnels : On comprend. On a ce qu'il faut.
À l'heure où près de la moitié des Canadiennes et Canadiens (43 %) déclarent ne pas savoir à qui faire confiance pour obtenir de bons conseils financiers, les données révèlent les avantages clairs d'un accompagnement professionnel. Selon un sondage mené par Co-operators en juin 2025, les personnes qui collaborent avec des conseillères et conseillers en sécurité financière se disent plus confiantes dans la gestion de leurs finances (64 %) que celles qui n'en ont pas ou qui ne savent pas vers qui se tourner (44 %).
« Ces résultats mettent en lumière une réalité complexe pour les Canadiennes et Canadiens qui tentent de planifier leur avenir, mais se retrouvent trop souvent induits en erreur », déclare Jess Baker, première vice-présidente et cheffe des ventes au détail chez Co-operators. « Un conseil généralement considéré comme bon ne signifie pas nécessairement qu'il est bon pour vous, et nos conseillères et conseillers en sécurité financière le comprennent. Il n'y a pas de recette universelle. Parce que vos objectifs vous sont propres, nous vous offrons un accompagnement personnalisé pour les concrétiser. »
Au sujet du sondage
Un total de 1 000 résidentes et résidents adultes de toutes les régions du Canada ont été interrogés en ligne entre le 20 et le 27 août 2025. L'échantillon a été tiré au hasard à partir d'un panel Léger composé de personnes susceptibles de répondre au sondage. L'échantillon a été pondéré selon l'âge, le genre et la région afin de refléter la répartition de la population canadienne d'après les données du recensement de 2021. La marge d'erreur associée à un échantillon probabiliste de cette taille serait de ± 3 %, 19 fois sur 20.
À propos de Co‑operators
Fièrement canadienne depuis 1945, Co-operators est une coopérative de services financiers de premier plan qui offre des solutions d'assurance multibranches et de placement ainsi que des services et des conseils personnalisés afin d'aider les Canadiens et Canadiennes à bâtir et à consolider leur sécurité financière. Avec des actifs sous administration de plus de 72 milliards de dollars, elle est réputée pour son engagement communautaire et ses efforts visant à créer un avenir plus durable. En tant qu'organisation carboneutre, Co-operators est déterminée à atteindre zéro émissions nettes dans ses activités et ses placements d'ici 2040 et 2050 respectivement. Co-operators figure au palmarès des 100 meilleurs employeurs au Canada et se classe parmi les 50 meilleures entreprises responsables au pays selon Corporate Knights. Pour en savoir plus, consultez le cooperators.ca.
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SOURCE Co-operators Group Limited
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