Merck Canada inc. fera son entrée dans un nouveau domaine pharmaceutique au Canada : les produits biosimilaires English
Les produits biosimilaires : offrir plus d'options pour mieux soutenir
le système de soins de santé canadien
Kirkland, QC, le 3 déc. 2015 /CNW/ - Dans le cadre du récent accord de partenariat entre Merck & Co., Inc. et Samsung Bioepis Co., Ltd., Merck Canada inc. a annoncé aujourd'hui qu'elle s'apprête à proposer une gamme diversifiée de médicaments biosimilaires sur le marché canadien au cours des prochaines années. Les produits biosimilaires peuvent occuper une place importante dans le système de soins de santé en contribuant à sa viabilité, ainsi que permettre des économies qui pourraient être investies dans l'amélioration de l'accès aux médicaments innovateurs.
Un produit biosimilaire, également appelé produit biologique ultérieur (PBU) au Canada, est un médicament biologique qui fait son entrée sur le marché après une première version déjà autorisée au Canada, qui présente une similarité établie avec un médicament biologique de référence1 et qui vise à traiter diverses maladies telles que le cancer, la polyarthrite rhumatoïde, les déficits de croissance, la maladie de Crohn, le diabète ou le psoriasis. Les médicaments d'origine vont demeurer des options thérapeutiques importantes, mais les produits biosimilaires peuvent offrir aux Canadiens des options thérapeutiques plus nombreuses et moins coûteuses.
Collaborer pour définir le cadre des produits biosimilaires au Canada
Les politiques de remboursement des payeurs publics et privés doivent être adaptées pour aider à garantir l'accès rapide aux produits biosimilaires, de même qu'elles doivent ménager des conditions viables et durables qui favorisent l'utilisation continue de ces produits. Une fois que seront en place les conditions de remboursement appropriées, le système de soins de santé canadien sera en mesure de tirer profit de l'important potentiel d'économies qu'offrent ces médicaments.
Les médicaments biologiques constituent l'un des segments où les dépenses pharmaceutiques croissent le plus rapidement au Canada : leur taux de croissance a atteint 12,2 % pour la période de 12 mois se terminant en août 2014, tandis que l'ensemble des dépenses en médicaments a augmenté de 3 %. Au cours de la même période, les ventes de produits biologiques se sont élevées à 5,6 milliards de dollars, soit 24 % de l'ensemble du marché canadien des produits pharmaceutiques, et comprenaient quatre des cinq médicaments les plus vendus au Canada2.
« Je prescris le médicament qui est dans le meilleur intérêt de mes patients, en fonction de leurs problèmes de santé et de leurs besoins sur le plan clinique », a déclaré le Dr Edward Keystone, rhumatologue et directeur du Rebecca MacDonald Centre for Arthritis and Autoimmune Disease au Mount Sinai Hospital à Toronto. « La question est de savoir si les assureurs publics et privés donneront priorité aux produits biosimilaires. Si les assureurs choisissent de ne pas donner priorité aux produits biosimilaires, les médecins vont fort probablement continuer de prescrire les produits biologiques d'origine, car ces produits sont ceux auxquels ils se sont habitués au fil du temps, et cela aurait pour conséquence de restreindre l'utilisation des produits biosimilaires à long terme et de freiner la possibilité de réduire le coût des médicaments. »
Merck est fière de proposer de nouveaux médicaments aux Canadiens. Son approche à l'égard des produits biosimilaires ou de tout autre médicament lui est dictée par la priorité qu'elle donne aux patients. Merck a toujours à cœur d'aider les patients à avoir accès aux médicaments. En collaboration avec les gouvernements, les payeurs privés, l'industrie, les professionnels de la santé et les parties prenantes, Merck travaillera à établir un environnement propice à la viabilité de l'industrie des produits biosimilaires au Canada.
« Le point de mire de Merck a toujours été d'offrir des médicaments innovateurs qui répondent à des besoins non-comblés. Dans l'environnement complexe et exigeant d'aujourd'hui, l'innovation peut également consister à trouver des solutions nouvelles qui non seulement favorisent la viabilité du système de soins de santé, mais permettent à la société de continuer à financer l'innovation pour répondre aux besoins non-comblés », a fait savoir Bruno Mäder, chef de l'unité fonctionnelle des produits biosimilaires chez Merck au Canada. « Nous mobilisons actuellement des ressources de partout au Canada pour soutenir notre unité des produits biosimilaires, afin que des milliers de patients canadiens aient accès à des options thérapeutiques efficaces à un coût considérablement moindre. »
À propos de Merck
La société Merck d'aujourd'hui est un chef de file mondial dans le domaine des soins de santé qui vise à aider le monde à vivre mieux. Merck est connue sous le nom de MSD à l'extérieur du Canada et des États-Unis. Grâce à nos médicaments, vaccins, traitements biologiques et produits de santé animale, nous collaborons avec nos clients et œuvrons à procurer des solutions de santé novatrices dans plus de 140 pays. Nous démontrons également notre détermination à améliorer l'accès aux soins de santé grâce à des politiques, programmes et partenariats d'envergure. Pour obtenir de plus amples renseignements sur nos activités au Canada, consultez le site www.merck.ca.
Déclarations prospectives
Ce communiqué contient des « déclarations prospectives » (forward-looking statements), au sens des dispositions libératoires de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis. Ces déclarations sont fondées sur les convictions et les prévisions actuelles de la direction de Merck et sont soumises à de nombreux risques et incertitudes. Rien ne garantit que les produits au stade expérimental recevront les approbations nécessaires des organismes de réglementation ou qu'ils auront un succès commercial. Si les hypothèses sous-jacentes se révèlent inexactes ou si les risques et incertitudes se concrétisent, les résultats réels pourraient être considérablement différents de ceux annoncés dans les déclarations prospectives.
Les risques et les incertitudes comprennent, sans s'y limiter, les conditions générales de l'industrie et la concurrence; les facteurs économiques généraux, incluant les fluctuations des taux d'intérêt et des taux de change; les effets de la réglementation de l'industrie pharmaceutique ou des lois concernant les soins de la santé aux États-Unis et dans le monde; les tendances mondiales à l'égard de la limitation des coûts des soins de santé; les avancées technologiques et les nouveaux produits et brevets des concurrents; les défis liés à l'élaboration d'un nouveau produit, ce qui inclut l'obtention de l'approbation réglementaire; la capacité de Merck à prédire précisément les conditions de marché futures; les difficultés ou les retards de fabrication; l'instabilité financière des économies mondiales et le risque de souveraineté; la dépendance à l'égard de l'efficacité des brevets de Merck et des autres protections relatives aux produits innovants; et le risque de faire l'objet d'actions judiciaires, y compris les litiges sur les brevets, ou de mesures réglementaires.
Merck n'est pas tenue de publier des mises à jour des déclarations prospectives, que ce soit à la suite de nouvelles informations, d'événements futurs ou de tout autre élément. D'autres facteurs susceptibles d'entraîner une différence notable entre les résultats réels et les résultats décrits dans les déclarations prospectives sont énoncés dans le rapport annuel 2014 de Merck établi sur le formulaire 10-K et sur les autres documents déposés par la société auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et accessibles sur le site Internet de cette dernière (www.sec.gov).
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Santé Canada. Juin 2010. Lignes directrices à l'intention des promoteurs : Exigences en matière de renseignements et de présentation relatives aux produits biologiques ultérieurs (PBU). Consulté le 6 novembre 2015. Voir : http://www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/brgtherap/applic-demande/guides/seb-pbu/seb-pbu_2010-fra.php |
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2 |
IMS Brogan, PharmaFocus 2018, MAT août 2014. Consulté le 28 octobre 2014 |
SOURCE Merck Canada Inc.

Relations avec les médias : Ani Armenian, Merck, 514-428-3395; Relations avec les investisseurs, Amy Klug, Merck, 908-740-1898; Lisa Cancian, MacLAREN McCANN HEALTH, 416-642-7945; Yannick Gayama, MacLAREN McCANN HEALTH, 514-447-3943
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