Selon 78 % des personnes qui ont participé à un sondage, même une petite quantité d'alcool peut affecter les facultés d'un conducteur
Selon ce même sondage, 38 % des Canadiens ont conduit leur véhicule ignorant ou sachant que leur taux d'alcoolémie dépassait la limite permise.
TORONTO, le 2 mars 2016 /CNW/ - Un récent sondage démontre que même si la plupart des Canadiens estiment qu'une petite quantité d'alcool suffit pour affecter les facultés d'un conducteur, les actions des conducteurs canadiens ne reflètent pas toujours cette réalité.
Lors d'un sondage effectué par Léger auprès des conducteurs de véhicules canadiens en février 2016, 33% des répondants se sont dits d'accord avec cet énoncé, « À certaines occasions, j'ai conduit mon véhicule sans être certain que mon taux d'alcoolémie ne dépassait pas la limite permise », et 26 % de ces mêmes répondants se sont dits d'accord que, « À certaines occasions, j'ai conduit mon véhicule sachant très bien que mon taux d'alcoolémie dépassait la limite permise. »
Le quart des répondants estiment que même si leur taux d'alcoolémie dépasse un peu la limite permise, ils ont confiance qu'ils conduisent prudemment (le pourcentage était sensiblement plus élevé chez les conducteurs de sexe masculin que chez les femmes - 30 % versus 17 %). Le tiers des Canadiens estiment qu'à certaines occasions ils ont conduit leur véhicule sans savoir si leur taux d'alcoolémie dépassait la limite permise - les hommes sont plus susceptibles d'être d'accord avec cette affirmation que les femmes (42 % versus 25 %).
« Il n'est pas surprenant de constater que ces attitudes préoccupent les Canadiens », indique Christopher Wilson, directeur, produits de dépistage d'alcool chez Alcohol Countermeasure Systems (ACS), qui a commandité le sondage. « Le fait que les deux tiers des Canadiens aient déjà soit empêché ou envisagé d'empêcher un ami, un proche ou un collègue de conduire à cause de l'alcool est une découverte importante. »
La grande majorité des Canadiens s'estiment préoccupés par les conducteurs ivres qui menacent la sécurité de leurs proches ou de leurs amis (91 %), ou la leur (90 %).
« Les conducteurs surestiment leurs capacités à évaluer leur sobriété, mais il ne devrait pas en être ainsi, explique Wilson. Nous savons que les Canadiens estiment que les établissements qui servent de l'alcool ont le devoir de ne pas laisser les clients qui ont trop bu partir avec leur véhicule. »
Le sondage démontre que plus des deux tiers des Canadiens, davantage au Québec et chez les femmes, estiment que les bars, les restaurants et les boites de nuit devaient avoir sur place des appareils de dépistage du taux d'alcoolémie pour les clients (68 %).
« Nous avons bâti notre entreprise en offrant nos services aux autorités policières, à l'industrie du transport et aux organismes de règlementation, affirme Wilson. Nous travaillons de près avec les fondations de recherche, les organismes sans but lucratif, les restaurants et les bars qui ont des appareils de dépistage d'alcool sur place afin que les conducteurs et leurs amis sachent avec certitude à quel moment il est dangereux de prendre le volant. »
« Nous avons fait beaucoup de progrès pour sensibiliser les Canadiens aux dangers de la conduite en état d'ébriété, et leur faire comprendre que même s'ils ont l'impression d'être en état de conduire après avoir bu, cela ne suffit pas, souligne Wilson. Ce sondage confirme qu'il reste encore du travail à faire pour aider les Canadiens à adopter les mesures nécessaires pour éviter de devenir les victimes des conducteurs ivres. »
À propos du sondage
Le sondage mené en ligne a été réalisé auprès 1 546 Canadiennes et Canadiens entre le lundi 1er février et le jeudi 4 février à l'aide de LegerWeb. Un échantillon probabiliste de cette taille aurait une marge d'erreur de +/- 2,5 % dans 19 cas sur 20.
À propos d'Alcohol Countermeasure Systems
Alcohol Countermeasure Systems (ACS) est un groupe mondial d'entreprises qui partagent un but commun - promouvoir la sécurité routière par le biais d'une technologie d'analyse de l'haleine pour mesurer le taux d'alcoolémie au sein de divers marchés, y compris le marché de l'automobile, les industries, les forces de l'ordre, ainsi que le marché des appareils de sécurité publique et personnelle.
ACS a débuté comme division de Borg-Warner en 1970 avec le mandat de développer une technologie qui empêcherait un conducteur ivre d'opérer un véhicule, maintenant connue sous le nom d'antidémarreur éthylométrique. En 1976, le groupe a été incorporé sous le nom de Alcohol Countermeasure Systems au Canada et aux États-Unis.
En 1991, Felix J.E. Comeau, qui était alors président, a fait l'acquisition de Alcohol Countermeasure Systems Corp. au Canada et de Alcohol Countermeasure Systems, Inc. aux États-Unis. L'entreprise a ouvert de nouveaux bureaux à Hong Kong et en Australie en 1995. Cette expansion opérationnelle entraina des percées technologiques et une croissance continue au fur et à mesure que l'entreprise continua son expansion à travers le monde.
Des bureaux satellites ont été établis en France en 2004 et en Suède en 2011. Parmi les acquisitions technologiques, on retrouve l'achat de la division des éthylotests SERES France en 2006 qui a servi à intégrer les appareils de constatation d'alcool par analyse d'haleine au sein du portefeuille d'ACS.
Aujourd'hui, ACS emploie plus de 400 personnes à travers le monde pour concevoir, fabriquer et commercialiser des appareils de détection d'alcool dans l'haleine qui sont précis, fiables et dotés de technologies innovatrices.
SOURCE Alcohol Countermeasure Systems (ACS)
Bas de vignette : "Faites preuve de jugement — ne conduisez pas après avoir bu! (Groupe CNW/Alcohol Countermeasure Systems (ACS))". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20160302_C7696_PHOTO_FR_633191.jpg
Esther Buchsbaum, EnergiPR, Tél. : 514.288.8500 poste 225, Courriel : [email protected]
Partager cet article