Une nouvelle campagne brise le tabou entourant le Grand Ow
Une campagne de sensibilisation pour inciter les Canadiennes à consulter leur médecin et obtenir de l'aide au sujet d'un symptôme courant de la ménopause dont on parle rarement
MISSISSAUGA, ON, le 8 févr. /CNW/ - Lorsqu'il s'agit des symptômes de la ménopause, comme les bouffées de chaleur, le gain de poids ou les troubles de sommeil, il est probable que la plupart des femmes n'hésiteraient pas à en parler à leur médecin. Mais il y a un autre effet courant, et pourtant tout aussi pénible, de la ménopause que bien des femmes préfèrent simplement passer sous silence.
"Avec des symptômes comme la sécheresse et les irritations vaginales et des douleurs lors des relations sexuelles, l'atrophie vaginale a souvent une influence négative sur l'image qu'une femme a de son corps, sur son estime de soi, en plus d'affecter sa vie sexuelle et la relation avec son partenaire. Ces symptômes peuvent être très incommodants, que la femme soit sexuellement active ou non", fait remarquer la Dre Michèle Moreau, spécialiste en santé des femmes, Hôpital Notre-Dame du CHUM. "Jusqu'à la moitié des femmes postménopausées auront des symptômes d'atrophie vaginale et pourtant plusieurs d'entre elles ne se sentent pas à l'aise d'en discuter avec leur médecin, se privant ainsi de se voir offrir un traitement efficace. Car l'atrophie vaginale ne se guérit pas d'elle-même et a même tendance à s'aggraver avec le temps."
Pour aider les femmes à briser le silence et à obtenir l'aide dont elles ont besoin, une nouvelle campagne, appelée
Selon un récent sondage international de femmes ménopausées et postménopausées, une Canadienne sur trois éprouve un inconfort vaginal et plus de la moitié d'entre elles décrivent leurs symptômes comme étant modérés à graves.(2) Malgré cela sept femmes sur dix ne sont pas traitées pour ce problème(2) et près de la moitié de toutes les femmes interrogées ne savaient pas que l'inconfort vaginal causé par la ménopause peut être traité localement. Beaucoup de femmes acceptent tout simplement l'inconfort vaginal ou croient qu'il s'agit d'un aspect incontournable de cette étape de leur vie.(2)
"Beaucoup de femmes passent leur inconfort vaginal sous silence et essaient de se soigner elles-mêmes avec des hydratants ou des lubrifiants vaginaux. Bien que ces produits peuvent être satisfaisants lorsque les symptômes sont peu marqués, ils sont souvent insuffisants et surtout ne s'attaquent pas au problème sous-jacent, soit une déficience en estrogènes au niveau de la paroi vaginale, note la Dre Moreau. Les femmes doivent savoir qu'elles peuvent obtenir un soulagement avec des traitements efficaces, sécuritaires et faciles d'utilisation qui libèrent de petites doses d'estrogènes localement, leur permettant de restaurer et maintenir leur santé vaginale et de jouir d'une vie sexuelle, sans inconfort vaginal."
À PROPOS DE L'ATROPHIE VAGINALE
L'atrophie vaginale est un problème courant et inconfortable pour bien des femmes pendant et après la ménopause - il touche même dans certains cas des femmes au milieu de la quarantaine.(3) Les symptômes courant comprennent des brûlements (en urinant ou pas), des démangeaisons, de la sécheresse, de l'irritation vaginale, des relations sexuelles douloureuses, de légers saignements après une relation sexuelle, des sécrétions claires ou liquides, des besoins urgents d'uriner, de l'incontinence urinaire (écoulement d'urine) et de fréquentes infections des voies urinaires.
À PROPOS DE NOVO NORDISK
Novo Nordisk est une société de soins de santé et un chef de file mondial en soins du diabète et en produits biopharmaceutiques. Novo Nordisk fabrique et commercialise des produits pharmaceutiques et offre des services qui ont un impact important pour les patients, la profession médicale et la société. Les activités de Novo Nordisk sont axées sur trois principes : un engagement au succès économique, le respect de l'environnement et la responsabilité sociale envers son personnel et sa clientèle. Pour de plus amples renseignements, visitez www.novonordisk.ca.
Références : (1) Johnston, S.L. The Recognition and Management of Atrophic Vaginitis. Geriatrics and Aging. 2002; 5(7) : 9-10. (2) Voix des femmes dans le sondage sur la ménopause (2009 YouGov Zapera A/S):3-5,7 (3) Urogenital Health. Journal d'obstétrique et gynécologie du Canada, 2009;31(1):S27
Renseignements: Patricia Archambault, MS&L, (514) 842-1077 poste 1593, [email protected]
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