Un groupe d'anciens combattants exprime ses inquiétudes quant au transfert
d'un hôpital à la province
L'hôpital pour anciens combattants Sainte-Anne du Québec
Un communiqué émis cette semaine par Anciens Combattants
Ce transfert potentiel est une grande source d'inquiétude et d'anxiété pour les anciens combattants, notamment en raison de la priorité d'accès aux lits dont ils bénéficient en ce moment à l'Hôpital Sainte-Anne. De plus, ils se demandent quelles seraient les conséquences sur la qualité des soins si l'hôpital devait compter parmi ses résidents des anciens combattants et des non-militaires.
Ils ont justifié leurs inquiétudes en donnant l'exemple récent d'un établissement pour anciens combattants qui a été transféré à une province, laquelle a enfreint les dispositions de l'accord de transfert, tandis que le gouvernement fédéral a manqué à son devoir de faire respecter les clauses relatives à l'entente.
Dans l'éventualité où le gouvernement du
De plus, le CNAAC a fait remarquer qu'actuellement, les anciens combattants des forces régulières se tournent vers l'Hôpital Sainte-Anne en raison de son expertise dans le traitement du trouble de stress post-traumatique (TSPT) et des complications psychiatriques qui découlent du service. En outre, le CNAAC se demande si le gouvernement a pris en considération ces besoins croissants qui résultent du conflit en
Le CNAAC a fait part de ces sérieuses préoccupations au ministre des Anciens Combattants et a l'intention de poursuivre les pourparlers avec le Bureau du ministre afin de protéger les intérêts des anciens combattants touchés par ce transfert potentiel.
Renseignements: Division des communications, Tél.: 1-800-265-0494, Courriel: [email protected]
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