Réduire le délai d'insertion des nouveaux arrivants sur le marché du travail est nécessaire pour assurer la cohésion sociale et une intégration réussie
MONTRÉAL, le 8 nov. 2017 /CNW Telbec/ - Grâce à une initiative de SIMO-EMPLOIS réalisée en partenariat avec le Centre de francisation William Hingston, des nouveaux arrivants et des réfugiés acceptés à la recherche d'un emploi de qualité auront l'occasion de rencontrer des employeurs de choix qui ont des postes à pourvoir.
En effet, de 10 h à 14 h, SIMO-EMPLOIS met ses bureaux, situés au 7245 Clark, 2ème étage, à la disposition des services de recrutement des entreprises participantes -- Hydro-Québec, Aliments Sunchef, Renaissance, Caisses Desjardins et Banque de Montréal (BMO) -- pour qu'ils puissent effectuer des entretiens éclair de 3 à 5 minutes avec les nouveaux arrivants.
Selon Marcel Laberge, directeur général de SIMO-EMPLOIS : « Réduire le délai d'insertion des nouveaux arrivants ne doit pas rester un vœu pieux, car le non-emploi sur le long terme a des coûts financiers et humains substantiels et récurrents. »
Selon une récente étude commandée par le Réseau des services spécialisés de main-d'œuvre (RSSMO), le non-emploi à long terme diminue la probabilité de se retrouver un emploi.
Réinsérer un individu sur le marché de l'emploi par l'intermédiaire du RSSMO coûte environ 2 500 $. Cela est nettement moins onéreux que le coût annuel des prestations d'aide sociale (7 300 $) ou d'assurance-emploi (11 000 $).
SOURCE SIMO-EMPLOIS
Renseignements: Marie Chatard, coordonnatrice, Alice Relations Publiques, 438-873-3282, [email protected]
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