Mise au Point de Ad Litteram - Défendre l'intégrité et la rigueur : Ad Litteram répond aux allégations de certains artistes
« Nous privilégions le dialogue et le respect des règles, non les campagnes de discrédit. »
-- Guillaume Lombart
MONTRÉAL, le 9 juin 2025 /CNW/ - Le président du Groupe Ad Litteram, Guillaume Lombart, souhaite faire une mise au point importante concernant la campagne de discrédit menée par certains artistes dans quelques médias la semaine dernière.
« Ad Litteram est reconnue et respectée depuis 27 ans dans le milieu culturel et artistique du Québec et du Canada », rappelle M. Lombart.
Depuis sa fondation en 1998, le Groupe Ad Litteram accompagne une multitude d'artistes, qu'ils soient émergents ou établis. Grâce à une constellation de cinq entreprises complémentaires, le Groupe a soutenu et soutient plus de 250 artistes et artisans de l'industrie musicale dans leur processus créatif en toute liberté, tout en veillant à la juste reconnaissance de leurs droits d'auteur et de leurs redevances.
Les cinq entités du Groupe, qui emploient 10 personnes, ont ainsi produit plus de 900 albums musicaux et réalisé plus de 1 500 captations vidéo, incluant de la webdiffusion en direct. Elles assurent également la représentation de plus de 15 000 œuvres musicales en édition au Canada.
Le Groupe dispose d'un studio mobile d'enregistrement sonore de calibre international, acquis en 2020 de l'étiquette ATMA Classique, le plus important label de musique classique au pays. En 2023, des audits financiers et de performance ont été réalisés pour cette entité à la demande de Musicaction. « Ces vérifications professionnelles et indépendantes ont confirmé la rigueur et la transparence de notre gestion », souligne M. Lombart. Deux ans plus tard, le Groupe procédait à l'acquisition de Culture Country.
Depuis 20 ans et en conformité avec les exigences des institutions publiques subventionnaires, des rapports d'activités sont remis chaque année, appuyés sur des états financiers vérifiés d'une firme experte externe, à Musicaction et de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) du gouvernement du Québec.
M. Lombart rappelle que le Groupe Ad Litteram a toujours agi dans le respect des lois, des règlements et des principes contractuels : « Bien que des différends puissent survenir -- ce qui est regrettable mais parfois inévitable --, la voie à suivre est celle du dialogue direct ou du recours aux tribunaux. »
Le dirigeant d'Ad Litteram déplore la stratégie médiatique choisie par certains artistes :
« À titre de président fondateur et au nom de notre équipe ainsi que de la grande majorité des artistes que nous représentons, je déplore que des enjeux contractuels aient été portés sur la place publique dans le but de nuire à notre réputation. Ce n'est pas ainsi que nous agissons chez Ad Litteram, autant par considération pour les personnes avec qui nous transigeons que par respect des règles contractuelles qui nous lient. »
En réaction aux propos tenus notamment dans Le Devoir et à la radio 98,5 FM, M. Lombart va prendre les mesures appropriées pour compenser les préjudices subis à sa réputation.
SOURCE Ad Litteram

Renseignements : [email protected]
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