Mesdames et messieurs, que l'épargne commence!
- Selon une étude de la Banque Scotia, les hommes ont l'impression d'épargner suffisamment, tandis que les femmes aimeraient majorer le montant de leur épargne annuelle de 1 500 $; tous se sentent bien mieux lorsqu'ils ont de l'argent de côté.
TORONTO, le 16 août /CNW/ - En matière d'épargne, les femmes (69 % de femmes contre 57 % d'hommes) sont plus susceptibles de croire qu'elles n'ont pas les moyens d'épargner plus, tandis que les hommes pensent qu'ils épargnent déjà suffisamment (29 % d'hommes contre 19 % de femmes), révèle une étude récente de la Banque Scotia réalisée par Harris/Decima, qui évalue les habitudes d'épargne des Canadiens. Bien que les personnes des deux sexes s'accordent pour dire qu'elles se sentent mieux si elles ont un filet de sécurité (94 % d'hommes et 95 % de femmes), les hommes (71 %) sont plus susceptibles que les femmes (64 %) d'avoir un plan pour atteindre leurs objectifs d'épargne.
"Notre recherche indique qu'il existe certaines différences fondamentales entre les hommes et les femmes en matière d'épargne", affirme Mary Voteary, directrice de succursale de la Banque Scotia à Ottawa. "Alors que les femmes semblent vouloir épargner pour parer à toute éventualité, les hommes sont généralement plus axés sur un but. Hommes et femmes ont raison. Il est excellent d'avoir un but, mais il importe également d'être prêt à faire face aux imprévus."
Selon l'étude, un plus grand nombre de femmes (77 %) que d'hommes (66 %) ont mentionné que, pour améliorer leur santé financière, elles devraient épargner 1 500 $ de plus par année, comparativement à la moyenne nationale de 72 %. L'étude a également établi que 70 % des hommes épargnent sur une base mensuelle, en comparaison de 64 % pour les femmes.
Bien qu'une plus grande proportion d'hommes que de femmes disposent d'économies suffisantes pour couvrir les dépenses de leur ménage pour trois mois ou plus (40 % et 27 %, respectivement), les femmes sont plus enclines que les hommes à changer leurs habitudes de dépenses pour épargner davantage (87 % de femmes contre 79 % d'hommes).
"Nous sommes conscients que les finances des Canadiens sont soumises à beaucoup de pressions, mais nous sommes convaincus que tout le monde peut épargner; il ne faut parfois qu'un petit coup de pouce pour y parvenir", mentionne Gerry Pettipas, directeur de succursale de la Banque Scotia à Halifax. "L'épargne automatique est la clé de la réussite en matière d'épargne. L'étude a révélé que 58 % des hommes et 53 % des femmes mettent régulièrement de l'argent de côté, et nous encourageons tous les Canadiens à le faire. Que l'épargne commence!"
Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet de l'épargne automatique, consultez le site www.quelepargnecommence.com.
Le programme Que l'épargne commence! de la Banque Scotia est conçu pour inciter et aider les Canadiens à améliorer leurs habitudes d'épargne, d'investissement et d'emprunt.
Fondé sur trois principes, Que l'épargne commence! encourage les Canadiens à :
- épargner automatiquement, parce que ça marche; - investir dans leur avenir, parce que personne d'autre ne le fera à leur place; - emprunter pour améliorer leur situation, et non pour s'endetter.
La Banque Scotia est l'une des principales institutions financières en Amérique du Nord et la plus internationale des banques canadiennes. Forts de leur effectif de près de 68 000 employés, le Groupe Banque Scotia et ses sociétés affiliées comptent environ 14,6 millions de clients dans une cinquantaine de pays. La Banque Scotia offre une gamme complète de produits et de services aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises ainsi qu'aux grandes sociétés, ainsi que des services et produits d'investissement. L'actif de la Banque Scotia s'établit à plus de 526 milliards de dollars (au 30 avril 2010). Les actions de la Banque Scotia sont cotées en bourse à Toronto (BNS) et à New York (BNS). Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web de la Banque à l'adresse www.banquescotia.com.
L'étude printanière sur l'épargne de la Banque Scotia a été menée en ligne à l'aide du panel en ligne de Harris/Decima. En tout, 502 hommes et 504 femmes ont participé au sondage entre le 26 mars 2010 et le 31 mars 2010. Le sondage a été effectué auprès des membres du panel choisis au hasard partout au Canada.
Il s'agissait d'un sondage standard réalisé au moyen d'un échantillon aléatoire composé de membres canadiens du panel de Harris/Decima. Comme c'est le cas pour un sondage par téléphone, les adresses électroniques des membres du panel ont été tirées au hasard en fonction de spécifications précises afin que l'étude soit représentative de la population canadienne par région et par sexe. Les répondants ne connaissaient pas l'objet de l'étude lorsqu'on leur a demandé s'ils désiraient participer à un sondage. Harris/Decima contrôle l'accès au sondage au moyen de mots de passe pour faire en sorte que les répondants n'y participent qu'une seule fois. À la fin de l'étude, les données ont été pondérées en fonction de la région, de l'âge et du sexe.
Renseignements: Patty Stathokostas, Relations publiques, Banque Scotia, 416-866-3625, [email protected]
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