Macogep fait parvenir des mises en demeure à Mmes Louise Harel et Chantal Rouleau
MONTRÉAL, le 8 févr. 2012 /CNW Telbec/ - Le président fondateur de la firme de gestion de projets indépendante Macogep, monsieur Louis yves LeBEAU, a mandaté ses avocats qui, ce matin, ont fait parvenir des mises en demeure à la Chef de l'opposition officielle de la Ville de Montréal et chef de Vision Montréal, Mme Louise Harel, à la mairesse de l'Arrondissement Rivière-des-Prairies - Pointe-aux-Trembles, Mme Chantal Rouleau, ainsi qu'au parti politique Vision Montréal.
Le jeudi 2 février dernier, mesdames Harel et Rouleau diffusaient un communiqué de presse sensationnaliste truffé d'éléments faux et diffamatoires. Chapeauté d'un titre lapidaire (« Usage de prête-nom à la Ville de Montréal »), ce communiqué relate notamment les affirmations de la chef de l'Opposition officielle à l'effet que « des représentants de la firme de génie-conseil Macogep (…) ont eux-mêmes rédigé des sommaires décisionnels en utilisant comme prête-nom des employés de la Direction stratégique des transactions immobilières (DSTI) », accusant ainsi Macogep et ses employés d'infractions criminelles.
Le communiqué poursuit avec des sous-titres tout aussi faux qu'accrocheurs tels « Un stratagème contraire à l'éthique » et « Les investissements stratégiques de la Ville aux mains du privé ». Ces accusations non fondées d'actes illégaux sont dévastatrices pour Macogep, une entreprise bâtie depuis 20 ans sur la qualité de ses services, sur son intégrité et sur sa réputation, de même que pour ses dirigeants et employés.
En conférence de presse, le 2 février 2012, Mmes Harel et Rouleau ont prononcé les mêmes allégations fausses et mensongères, en les qualifiant de « stratagème », de « mainmise » et d'«usurpation ».
Des faussetés à corriger
Ces faussetés véhiculées par Vision Montréal et mesdames Harel et Rouleau incluent notamment ce qui suit :
- « Macogep est une firme de génie-conseil »
- « Des représentants de Macogep ont eux-mêmes rédigé des sommaires décisionnels en utilisant comme prête-nom des employés de la ville. Un employé a déposé un grief à ce sujet »
- « Macogep a obtenu près de trois quarts de milliards de dollars de contrats »
Des faits pourtant faciles à vérifier
« Macogep est une firme de génie-conseil ». Cette affirmation est fausse. Macogep est une firme de gestion de projets totalement indépendante des firmes de génie-conseil et des entrepreneurs en construction.
« Des représentants de Macogep ont eux-mêmes rédigé des sommaires décisionnels en utilisant comme prête-nom des employés de la ville. Un employé a déposé un grief à ce sujet. » Ces affirmations sont fausses. Un simple appel à la présidente du Syndicat des professionnels de la Ville aurait permis de savoir qu'aucun grief n'a été déposé, que l'usage du nom de l'employé de la Ville avait été autorisé par le supérieur immédiat de cet employé, en l'occurrence un employé cadre de la Ville, et que nul employé de Macogep n'était impliqué dans cet événement.
« Macogep a obtenu près de trois quarts de milliards de dollars de contrats ». Cette affirmation est fausse. Macogep gère annuellement, pour la Ville de Montréal, environ 15 millions $ de travaux.
Ces allégations fausses à l'égard de Macogep et de ses dirigeants auraient pu être évitées par de simples vérifications d'usage avant d'être diffusées publiquement:
- La mission de Macogep est à la base d'une saine gestion et consiste à protéger et sécuriser les intérêts de ses clients donneurs d'ouvrage, incluant la Ville de Montréal, dans la réalisation de leurs projets, notamment en optimisant les projets, en promouvant la bonne gouvernance et à en dégageant des économies;
- Macogep n'a aucun lien ni financier ni contractuel avec quelque intervenant de la construction que ce soit (ingénieurs-conseils, entrepreneurs généraux et/ou spécialisés);
- Macogep réalise des mandats d'impartition de services en gestion de projets pour de nombreux donneurs d'ouvrage publics et privés. Entre autres, Macogep réalise des mandats en gestion de projets à la direction des services immobiliers de la Ville de Montréal;
- Macogep fait des recommandations à ses clients, mais celle-ci n'a jamais approuvé de sommaire décisionnel, et encore moins utilisé de prête-nom comme signataire de tel document.
Macogep reproche également à Mme Harel de l'avoir ciblée en invitant les journalistes, plusieurs heures à l'avance, à une conférence de presse au cours de laquelle elle allait « dénoncer des pratiques douteuses et usage de prête-noms à la Ville de Montréal ».
La mise en demeure mentionne ceci : « … vous avez diffusé une convocation aux médias à caractère si « spectaculaire » qu'elle a rapidement suscité un tel intérêt que la conférence de presse a été diffusée en direct à la télévision (ce qui se produit rarement) ».
Refus de s'excuser… et les contribuables devront payer
Vendredi le 3 février dernier, M. LeBEAU a invité Mme Harel et Mme Rouleau à se rétracter et à adresser des excuses à Macogep et aux membres de son équipe qui ont été visés par les propos considérés comme faux et mensongers par Macogep. Or, Mme Harel a refusé de donner suite.
Vision Montréal, Mme Louise Harel et Mme Chantal Rouleau sont sommées de se rétracter et de présenter des excuses publiques sans équivoque par le biais d'un communiqué à l'intention de tous les médias du grand Montréal, et ce, d'ici 17h00 le 13 février 2012.
« La voie du recours en justice n'est pas celle qui est privilégiée par Macogep, étant donné que les citoyens montréalais devront acquitter la facture de votre défense. Cependant, notre intégrité et notre réputation sont en jeu et sans une rétractation claire et limpide, Macogep n'aura pas d'autre choix que de s'engager dans cette voie », de conclure monsieur LeBEAU.
Source :
Macogep
Renseignements :
Pierre Gince, ARP
DIRECTION Communications stratégiques
(514) 773-2860
Partager cet article