Le Conference Board du Canada le confirme: "Les PPP n'impliquent pas la
privatisation de biens publics"
MONTRÉAL, le 8 févr. /CNW Telbec/ - L'Institut pour le partenariat public-privé n'est pas surpris des conclusions de l'étude du Conference Board du
Deux mythes mis au rancart
Selon l'étude, "les partenariats PPP n'impliquent pas la privatisation de biens publics. Au contraire, la propriété des nouvelles infrastructures continue de revenir au secteur public tout au long du processus ou à la fin du contrat." Il s'agit d'un mythe entretenu par les détracteurs des PPP. Un deuxième mythe tombe également car, toujours selon l'étude, "il ne semble pas y avoir de fondement aux critiques selon lesquelles les normes de service sont négligées dans un PPP en comparaison aux contrats d'entretien conventionnels."
Les projets canadiens qui ont fait l'objet de l'étude présentent une structure relativement similaire pour faciliter l'évaluation et ont été réalisés depuis 2004 en Colombie-Britannique, en Alberta, en Ontario et au Québec. La portée, les résultats et la méthode appliquée pour la préparation de l'étude ont été sous la seule responsabilité du Conference Board du
L'Institut
L'IPPP est un organisme sans but lucratif, dont les membres proviennent tant du secteur public que du secteur privé. L'Institut est un organisme indépendant qui encourage le dialogue et exclut la privatisation de sa définition d'un PPP. Le partenariat public-privé est une alternative à considérer pour moderniser le Québec et optimiser les services aux citoyens. "L'IPPP se veut la source de renseignement la plus objective au Québec en matière de partenariat public-privé. En tant que chef de file dans ce domaine, notre objectif est de faire avancer la réflexion sur les bonnes pratiques en PPP au Québec, pour le mieux-être de la collectivité", conclut le directeur général de l'Institut, monsieur Roger Légaré.
Renseignements: Philippe Normand, (514) 868-2009, poste 228; Source: Institut pour le partenariat public-privé
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