MONTRÉAL, le 14 août 2015 /CNW Telbec/ - Aimia Inc. (TSX: AIM), fournisseur de services de marketing et d'analytique de la fidélité fondés sur des données, annonce aujourd'hui ses résultats du trimestre terminé le 30 juin 2015. Toutes les données financières sont présentées en dollars canadiens, sauf indication contraire. Le présent communiqué renferme des mesures non conformes aux PCGR, qui sont décrites plus en détail à la fin du présent communiqué de presse.
Faits saillants :
- D'importants progrès ont été réalisés au premier semestre de l'exercice :
- La marge du BAIIA ajusté s'est établie à 10,2 %*, soit son plus haut niveau en six trimestres;
- Les ventes de plateformes de fidélisation vont bon train, comme en témoignent les nouveaux partenariats conclus avec Avis et TELUS.
- Aimia a révisé ses prévisions pour 2015 afin de rendre compte de la diminution de la facturation brute, attribuable à la conjoncture économique plus difficile, et d'un ajustement au titre d'une nouvelle entente d'impartition qui a donné lieu à la comptabilisation du montant net des produits des activités ordinaires. Les prévisions relatives à la marge du BAIIA ajusté, aux flux de trésorerie disponibles et aux dépenses en immobilisations restent toutefois les mêmes.
- Aimia établira en 2016 une nouvelle structure organisationnelle plus simple qui soutiendra la croissance; ces changements devraient permettre des réductions de coûts annualisées d'environ 20 M$.
- Aimia continue de redistribuer d'importants montants de trésorerie excédentaire à ses actionnaires, ayant majoré son dividende chaque année depuis cinq ans et racheté des actions de près de 200 M$ depuis novembre 2014.
*Compte non tenu de la réduction de 45,7 M$ de la provision au titre de la migration des cartes. |
FAITS SAILLANTS(1) |
Trimestres terminés les 30 juin |
|||||
(en millions de dollars canadiens, |
2015 |
2014 |
Variation en % |
Variation en % |
Variation en % |
|
Facturation brute |
605,3 |
648,1 |
(6,6) |
(8,2) |
(8,2) |
|
Total des produits des activités ordinaires(2) |
536,9 |
555,4 |
(3,3) |
(5,2) |
(5,2) |
|
Résultat d'exploitation(2) |
23,3 |
(12,7) |
** |
** |
(82,7) |
|
BAIIA ajusté(2) |
107,5 |
58,7 |
83,1 |
81,9 |
4,1 |
|
Résultat net(2)(3) |
32,6 |
(18,8) |
** |
** |
** |
|
Résultat par action ordinaire(2)(3) |
0,17 |
(0,14) |
** |
** |
** |
|
Résultat net ajusté par action ordinaire(2)(3) |
0,54 |
0,17 |
** |
** |
** |
|
Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation(4) |
82,9 |
171,2 |
(51,6) |
** |
** |
|
Flux de trésorerie disponibles avant versement |
59,2 |
153,1 |
(61,3) |
** |
** |
** Information non significative |
Nouvelles ententes signées avec Avis et TELUS
Aimia a annoncé aujourd'hui qu'Avis Car Rental a choisi la plateforme de fidélisation Aimia pour son programme de récompenses.
Tirant parti de la puissance et de la technologie de la plateforme de fidélisation récemment lancée par Aimia, Avis Car Rental améliore ainsi son programme de fidélisation, Avis Preferred, en tissant des liens de plus en plus étroits avec ses clients avec chaque interaction. Avis Preferred permet aux clients d'Avis d'obtenir des récompenses privilégiées et personnalisées en fonction de leurs besoins. La plateforme de fidélisation Aimia met à la disposition d'Avis une plateforme technologique qui l'aidera à solidifier les relations clients en faisant appel à des capacités de commercialisation avancées. Le programme Avis Preferred est en place dans 12 pays d'Europe et partout en Amérique du Nord.
TELUS, une importante société de télécommunications canadienne, a également choisi récemment la plateforme Smart Button d'Aimia pour son programme de récompenses. Comme il a été annoncé le 27 juillet dernier, Smart Button fournira au programme Récompenses TELUS une plateforme solide, axée sur le client et riche en fonctionnalités, qui s'intègre aisément aux systèmes existants de l'entreprise. L'interface conviviale de la plateforme signifie que le programme de fidélisation peut être géré à l'interne par le service marketing de l'entreprise. Grâce à sa fonction intégrée d'exportation des données, la plateforme permet également d'effectuer des analyses en temps réel des clients et ainsi de recueillir des renseignements utiles à leur sujet, permettant à TELUS de segmenter efficacement ses clients et d'interagir de façon plus pertinente avec eux.
Cap sur les secteurs d'activité à compter de janvier 2016
Organisée à l'heure actuelle en fonction d'une approche géographique pour la présentation de ses résultats financiers, Aimia mettra en place une structure fondée sur ses secteurs d'activité en janvier 2016.
En plus de favoriser la croissance et de centrer l'entreprise sur des investissements qui permettront à Aimia de renforcer sa position comme un chef de file dans le secteur des services de marketing et d'analytique de la fidélité, le changement simplifiera la structure d'Aimia et devrait permettre de réaliser des économies annualisées d'environ 20 M$ à compter de 2016.
La nouvelle structure sera composée de trois unités d'exploitation, à savoir :
- Solutions de fidélisation mondiales, dirigée par Shailesh Baidwan, actuellement président régional, Asie-Pacifique, qui regroupera les activités liées aux solutions et aux stratégies fondées sur les plateformes de fidélisation Aimia et Smart Button;
- Coalitions des Amériques, dirigée par Vince Timpano, actuellement président et chef de la direction, Canada, qui sera axée sur l'innovation et l'investissement dans notre principal programme de fidélisation coalisé Aéroplan et dans tout autre programme de fidélisation coalisé que nous pourrions établir en Amérique ainsi que sur nos solutions non fondées sur des plateformes pour des clients en Amérique;
- Coalitions internationales, dirigée par Jan-Pieter Lips, actuellement président, Europe, Moyen-Orient et Afrique, qui englobera les programmes de fidélisation coalisés européens et les éventuels nouveaux programmes de fidélisation coalisés à l'échelle internationale, ainsi que les activités menées au Moyen-Orient et les investissements continus dans Shopper Insights & Communications business.
Le rôle des autres membres du comité exécutif ne sera pas modifié.
« Les changements que nous apportons aujourd'hui à la conduite de nos activités sont une progression naturelle du succès que nous remportons depuis que nous sommes devenus une entreprise mondiale, a affirmé Rupert Duchesne, chef de la direction du groupe d'Aimia. Grâce à nos réalisations des dernières années qui ont permis de solidifier chacune de nos entreprises, nous sommes positionnés pour simplifier et recentrer nos principaux secteurs d'activité et en assurer la croissance. »
« La simplification de notre structure permettra de réaliser des économies annualisées d'environ 20 M$ et nous permettra de cerner les meilleures façons d'utiliser le capital afin de stimuler la croissance et de continuer de générer des rendements à court terme et à long terme pour nos actionnaires. »
Faits saillants des résultats consolidés
Trimestre terminé le 30 juin 2015 par rapport au trimestre terminé le 30 juin 2014 :
- La facturation brute s'est chiffrée à 605,3 M$ au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de 648,1 M$ au deuxième trimestre de 2014. Ce recul est attribuable à la diminution de la facturation brute dans le cadre du programme Nectar Italia qui a découlé de la perte du partenaire pilier du programme le 1er mars 2015, ainsi qu'à la diminution de la facturation brute enregistrée dans la région É.-U. et APAC en raison principalement d'un traitement comptable qui a donné lieu à la comptabilisation du montant net des produits des activités ordinaires. Le recul de la facturation brute est également attribuable à la diminution de la facturation brute dans le cadre des programmes Nectar UK et Aéroplan et à la baisse de la facturation brute au titre des services de fidélisation propriétaire au Canada.
- Le BAIIA ajusté s'est établi à 107,5 M$ au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de 58,7 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. En devises constantes, le BAIIA ajusté a augmenté de 82 %, en raison principalement de l'ajustement favorable de 45,7 M$ lié à la réduction de la provision au titre de la migration des cartes. Si l'on ne tient pas compte de cet ajustement, le BAIIA ajusté s'est chiffré à 61,8 M$, en hausse de 4,1 % en devises constantes, ce qui se traduit par une marge du BAIIA ajusté de 10,2 %, en comparaison de 9,1 % pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. Le BAIIA ajusté reflète également l'incidence favorable de l'augmentation des distributions reçues de PLM et d'i2c et de la baisse des charges d'exploitation observée dans les régions EMOA et É.-U. et APAC.
- Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se sont établis à 59,2 M$ au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de 153,1 M$ au deuxième trimestre de 2014. Exclusion faite du remboursement d'impôt de 83,4 M$ reçu au deuxième trimestre de l'exercice précédent, les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes affichent une baisse de 10,5 M$ pour le trimestre, en raison de la diminution de la trésorerie provenant des activités d'exploitation qui a résulté principalement de la baisse de la facturation brute et de la hausse de 5,6 M$ des dépenses en immobilisations découlant des initiatives liées aux technologies de l'information.
Semestre terminé le 30 juin 2015 par rapport au semestre terminé le 30 juin 2014 :
- La facturation brute s'est chiffrée à 1 200,5 M$ pour le premier semestre de 2015, en comparaison de 1 365,3 M$ pour le semestre correspondant de l'exercice précédent. Cette diminution s'explique principalement par le versement unique de 100,0 M$ reçu de TD au premier trimestre de 2014 afin d'aider à couvrir les améliorations apportées au programme Aéroplan, de même que par la diminution de la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation dans le cadre du programme Nectar Italia qui a découlé de la perte du partenaire pilier. Le recul de la facturation brute consolidée est également attribuable à la diminution de la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation dans le cadre des programmes Nectar UK et Aéroplan et à la baisse de la facturation brute au titre des services de fidélisation propriétaire dans la région É.-U. et APAC - dont une tranche de 19,6 M$ se rapporte au traitement comptable qui a donné lieu à la comptabilisation du montant net des produits des activités ordinaires - et au Canada.
- Le BAIIA ajusté s'est établi à 159,3 M$, en comparaison de 190,4 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent. En devises constantes, le BAIIA ajusté a diminué de 32,1 M$, ce qui s'explique par le versement unique de 100,0 M$ reçu de TD au premier trimestre de 2014, en partie contrebalancé par l'ajustement favorable de 45,7 M$ lié à la réduction de la provision au titre de la migration des cartes. Si l'on ne tient pas compte de ces éléments, le BAIIA ajusté a augmenté de 26 %, du fait surtout de la hausse qui a été enregistrée au Canada en raison du nombre moins élevé de milles promotionnels qui avaient été émis sur les nouvelles cartes financières acquises au cours de la période correspondante de l'exercice précédent, contrebalancée par l'apport moindre des services de fidélisation propriétaire. La hausse du BAIIA ajusté s'explique également par la baisse des charges d'exploitation et par l'augmentation des distributions de placements mis en équivalence dans la région EMOA et au siège social.
- Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se sont chiffrés à 64,4 M$, en comparaison de 213,6 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Exclusion faite d'un montant net de 185,5 M$ au titre d'éléments non récurrents, notamment le versement unique de 100,0 M$ reçu de TD au premier trimestre de 2014 et les remboursements d'impôt de 105,9 M$ et de 20,4 M$ reçus respectivement au premier semestre de 2014 et au premier semestre de 2015, les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes ont augmenté de 36,3 M$. La baisse des charges d'exploitation, la diminution du montant net des intérêts payés et les améliorations du fonds de roulement ont été partiellement neutralisées par le recul de la facturation brute, par la hausse du coût des primes et des coûts directs et par l'augmentation de 4,5 M$ des dépenses en immobilisations.
Prévisions pour 2015
Aimia a mis à jour les prévisions pour l'exercice se terminant le 31 décembre 2015 qu'elle avait précédemment publiées le 27 février 2015 (et confirmées le 15 mai 2015) afin qu'elles rendent compte de ses attentes actuelles en ce qui a trait aux dépenses de consommation, ainsi que d'un ajustement attribuable à l'impartition de l'échange de cartes-cadeaux qui a donné lieu à la comptabilisation du montant net des produits des activités ordinaires.
Les prévisions d'Aimia sont actuellement les suivantes :
(en millions de dollars canadiens) |
2014 |
Prévisions |
Prévisions |
Facturation brute |
2 586,6 $ |
Fourchette de |
Fourchette de |
BAIIA ajusté |
216,4 $ |
Marge du BAIIA ajusté d'environ 9 % |
Marge du BAIIA ajusté d'environ 9 % |
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes |
94,3 $ |
Fourchette de |
Fourchette de 220 $ à 240 $ |
Dépenses en immobilisations |
81,5 $ |
Fourchette de |
Fourchette de 70 $ à 80 $ |
Se reporter à la rubrique « Énoncés prospectifs » ci-dessous concernant les hypothèses sous-jacentes aux prévisions ci-dessus et aux risques y afférents, incluant les fluctuations du change et le risque de change. |
Faits saillants par secteur pour le deuxième trimestre de 2015(6)
Se reporter à la rubrique « Notes » à la fin du présent communiqué de presse pour obtenir des précisions sur les notes des tableaux. |
Canada - Hausse de la marge du BAIIA ajusté sous-jacente
- La facturation brute s'est établie à 343,0 M$ au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de 365,2 M$ au deuxième trimestre de 2014. Le recul de la facturation brute au titre des unités de fidélisation est attribuable au secteur des services financiers, lequel a réduit l'ampleur de ses campagnes promotionnelles. De plus, la diminution affichée par le secteur du commerce au détail et les autres secteurs des voyages a été partiellement compensée par le secteur du transport aérien. Pour le premier semestre de 2015, la facturation brute s'est chiffrée à 670,6 M$, en comparaison de 797,9 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Cette variation s'explique principalement par le versement unique de 100,0 M$ reçu de TD au premier trimestre de 2014. Le solde de l'écart est surtout attribuable à la perte de contrats et la baisse du volume de distribution de primes pour ses services de fidélisation propriétaire.
- Le nombre de milles Aéroplan émis a diminué de 10,5 % au deuxième trimestre de 2015 par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, en raison de l'augmentation du nombre de milles promotionnels émis. Si l'on ne tient pas compte des milles promotionnels, le nombre de milles Aéroplan émis a diminué de 2,9 %. Pour le premier semestre de 2015, le nombre de milles Aéroplan émis a affiché une baisse de 10,3 %, en raison du plus grand nombre de milles promotionnels qui avaient été émis au cours de la période correspondante de l'exercice précédent. Si l'on ne tient pas compte des milles promotionnels, le nombre de milles Aéroplan émis a diminué de 1,6 %.
- Le nombre de milles échangés aux termes du programme Aéroplan affiche une hausse de 3,6 % pour le trimestre, en raison de l'augmentation des milles échangés contre des primes-voyages, et une hausse de 0,9 % pour le semestre.
- Le BAIIA ajusté s'est élevé à 102,7 M$ au deuxième trimestre de 2015, comparativement à 59,5 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. La marge du BAIIA ajusté s'est établie à 29,9 %, en comparaison de 16,3 % pour la période correspondante de 2014. La hausse de 43,2 M$ du BAIIA ajusté est principalement attribuable à l'ajustement favorable de 45,7 M$ lié à la réduction de la provision au titre de la migration des cartes. Le reste de la baisse, soit 2,5 M$, ou 4,2 %, découle essentiellement de la diminution de 3,7 M$ de l'apport des services de fidélisation propriétaire, en partie compensée par une hausse nette enregistrée dans le programme Aéroplan. Si l'on ne tient pas compte de la provision au titre de la migration des cartes, la marge du BAIIA ajusté s'est établie à 16,6 %. Pour le premier semestre de 2015, le BAIA ajusté s'est chiffré à 158,3 M$, en comparaison de 199,7 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Si l'on ne tient pas compte de l'incidence de la provision au titre de la migration des cartes au premier semestre de 2015 ni de l'incidence du paiement reçu de TD au premier semestre de 2014, la marge du BAIIA ajusté s'est établie à 16,8 %, comparativement à 14,3 % pour la période correspondante de 2014, ce qui représente, exclusion faite des éléments non récurrents susmentionnés, une progression de 12,9 M$, ou 12,9 %, qui s'explique principalement par une amélioration de 19,0 M$ affichée par le programme Aéroplan, contrebalancée par une diminution de 6,1 M$ de l'apport des services de fidélisation propriétaire.
EMOA - Programme Nectar UK : transition vers une nouvelle structure d'accumulation
- La facturation brute du trimestre s'est chiffrée à 181,9 M$, soit une baisse de 8,0 %, ou de 11,4 % en devises constantes, comparativement à celle de 197,8 M$ enregistrée pour la période correspondante de l'exercice précédent. La diminution découle principalement de la baisse de la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation dans le cadre des programmes Nectar Italia et Nectar UK. Le programme Nectar Italia s'est ressenti de la perte de son partenaire pilier, tandis que le programme Nectar UK a subi les contrecoups de la diminution de l'accumulation de base dans le secteur des épiceries et des restrictions de nature réglementaire dans le secteur de l'énergie. Pour le premier semestre de 2015, la facturation brute s'est chiffrée à 367,0 M$, en comparaison de 384,8 M$ pour la période correspondante de 2014, ce qui représente une baisse de 4,6 %, ou de 7,8 % en devises constantes. Ce recul s'explique principalement par la diminution de la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation de 19,6 M$ et de 12,0 M$ enregistrée respectivement par le programme Nectar Italia et le programme Nectar UK en raison du recul de la facturation brute dans le secteur de l'énergie et le secteur automobile.
- Le nombre de points Nectar UK émis a diminué de 6,9 % au deuxième trimestre de 2015 par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent, en raison des modifications apportées aux modalités d'accumulation conclues avec le principal partenaire d'épicerie du programme et des restrictions de nature réglementaire dans le secteur de l'énergie, et il a diminué de 3,5 % au premier semestre de 2015. Les échanges au cours du trimestre ont diminué de 5,5 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, en raison de la hausse du volume d'échanges au premier trimestre de 2015, en prévision des nouvelles modalités d'accumulation qui sont entrées en vigueur en avril. Depuis le début de l'exercice, les échanges ont augmenté de 1,0 %.
- Le nombre d'unités de fidélisation émises au titre du programme Air Miles Moyen-Orient a diminué de 1,4 % au cours du deuxième trimestre de 2015 par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent. Pour le premier semestre de 2015, le nombre d'unités de fidélisation émises a augmenté de 1,4 %, en raison de l'intensification des activités promotionnelles menées par le principal partenaire d'accumulation du programme.
- Le nombre de points Nectar Italia émis a chuté au deuxième trimestre et au premier semestre par rapport aux périodes correspondantes de l'exercice précédent, en raison principalement de la perte du partenaire pilier du programme. Le nombre total de points échangés affiche une nette diminution pour le deuxième trimestre et une importante augmentation pour le premier semestre, en raison de l'expiration des points le 1er mars 2015.
- Le BAIIA ajusté a progressé de 11,6 % pour s'établir à 22,2 M$ au deuxième trimestre. En devises constantes, le BAIIA ajusté a augmenté de 6,5 %, en raison principalement de la baisse des charges d'exploitation et de la distribution de 1,0 M$ reçue d'i2c. La marge du BAIIA ajusté s'est établie à 12,2 % au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de 10,1 % au deuxième trimestre de 2014. Pour le premier semestre de 2015, le BAIIA ajusté s'est élevé à 39,3 M$, comparativement à 34,5 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui s'explique principalement par la baisse des charges d'exploitation, par le plus grand apport des services de fidélisation propriétaire et d'ISS et par la distribution reçue d'i2c. La marge du BAIIA ajusté s'est améliorée pour se fixer à 10,7 % pour le premier semestre de 2015, comparativement à 9,0 % pour la période correspondante de l'exercice précédent.
É.-U. et APAC - Amélioration du BAIIA ajusté inscrit pour le trimestre grâce à la réduction des charges
- La facturation brute s'est élevée à 80,6 M$, ce qui représente une baisse de 5,4 %, ou de 10,1 % en devises constantes, attribuable essentiellement au recul de la facturation brute liée à la distribution de primes aux États-Unis qui est attribuable en partie à une nouvelle entente d'impartition de l'échange de cartes-cadeaux, laquelle a donné lieu à la comptabilisation du montant net des produits des activités ordinaires. Ce facteur a été partiellement contrebalancé par une hausse du volume de distribution de primes. Pour le premier semestre de 2015, la facturation brute s'est chiffrée à 163,3 M$, en comparaison de 182,9 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui s'explique essentiellement par la diminution de la facturation brute liée à la distribution de primes aux États-Unis qui est attribuable à l'impartition de l'échange de cartes-cadeaux, laquelle a donné lieu à la comptabilisation du montant net des produits des activités ordinaires.
- Le BAIIA ajusté s'est établi à (3,5) M$ au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de (5,0) M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, soit une amélioration de 1,5 M$, ou de 1,8 M$ en devises constantes, qui s'explique principalement par la diminution des charges d'exploitation qui a découlé des efficiences réalisées au chapitre des coûts aux États-Unis. La marge du BAIIA ajusté s'est améliorée pour se fixer à (4,3) % au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de (5,9) % pour le trimestre correspondant de 2014. Pour le premier semestre, le BAIIA ajusté s'est établi à (6,9) M$, comparativement à (7,1) M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, en raison de la diminution des coûts directs et des charges d'exploitation, en partie contrebalancée par le recul de la facturation brute. La marge du BAIIA ajusté s'est établie à (4,2) % pour le premier semestre de 2015, contre (3,9) % pour la période correspondante de l'exercice précédent.
Siège social
- Le BAIIA ajusté s'est amélioré pour se chiffrer à (13,9) M$ au deuxième trimestre de 2015, en comparaison de (15,7) M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, ce qui tient principalement à la baisse des charges d'exploitation qui a découlé de la diminution de la rémunération fondée sur des actions et à l'augmentation des distributions reçues de PLM qui a résulté notamment de l'incidence favorable des fluctuations des cours de change, partiellement contrebalancées par la hausse des honoraires professionnels et de consultation. Pour le premier semestre de 2015, le BAIIA ajusté s'est chiffré à (31,4) M$ comparativement à (36,7) M$ à la période correspondante de l'exercice précédent en raison surtout de l'échelonnement des dépenses, lesquelles avaient été plus élevées au premier trimestre de l'exercice précédent, et de l'augmentation des distributions reçues de PLM, laquelle est attribuable en partie à l'incidence favorable des fluctuations des cours de change.
Dépenses en immobilisations
Les dépenses en immobilisations se sont chiffrées à 23,7 M$ pour le deuxième trimestre et à 44,2 M$ pour le premier semestre, et elles reflètent les investissements dans les technologies de l'information.
Dividendes
Les dividendes versés au deuxième trimestre de 2015 ont totalisé 35,0 M$. De ce montant, une tranche de 30,7 M$ se rapporte aux dividendes versés aux actionnaires ordinaires, le solde se rapportant aux actionnaires privilégiés. Pour le premier semestre, les dividendes versés se sont élevés à 70,7 M$ dont une tranche de 61,3 M$ se rapporte aux dividendes versés aux actionnaires ordinaires, le solde se rapportant aux actionnaires privilégiés.
Rachat d'actions
Aimia a racheté, au cours du trimestre et du semestre terminés le 30 juin 2015, des actions ordinaires totalisant respectivement 114,6 M$ et 159,0 M$. Après le 30 juin 2015, elle a racheté des actions ordinaires totalisant 8,9 M$, portant ainsi à près de 200 M$ la valeur totale des actions rachetées depuis novembre 2014, ce qui témoigne de la constance dont elle fait preuve au chapitre de la redistribution de sa trésorerie excédentaire à ses actionnaires. Depuis 2008, Aimia a racheté des actions d'une valeur totale d'environ 530 M$.
Téléconférence trimestrielle avec les investisseurs et webdiffusion
Aimia tiendra une téléconférence à 9 h HAE le vendredi 14 août 2015 pour discuter des résultats financiers du deuxième trimestre de 2015. On peut y participer en composant le 1 888 231-8191 ou le 647 427-7450, dans la région de Toronto. La téléconférence sera webdiffusée simultanément à l'adresse : http://event.on24.com/r.htm?e=1022526&s=1&k=B7449B4D0CE12A18F226D51955020E7E
Une présentation sous forme de diapositives accompagnant la téléconférence sera disponible le matin du 14 août 2015 à l'adresse : http://aimia.com/fr/investors/presentations.html et une rediffusion de la téléconférence sera disponible pendant les 90 jours qui suivront la diffusion initiale à l'adresse : http://aimia.com/content/aimiawebsite/global/fr/investors/events.html.
Les états financiers consolidés audités et le rapport de gestion seront accessibles sur le site Web des Relations avec les investisseurs, à l'adresse : http://aimia.com/fr/investors/quarterly-reports.html.
Notes
- Les mesures financières hors PCGR (BAIIA ajusté, résultat net ajusté par action ordinaire et flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes) et les devises constantes sont expliquées à la section intitulée « Mesures financières hors PCGR ».
- Le résultat d'exploitation et le BAIIA ajusté du trimestre terminé le 30 juin 2015 tiennent compte de l'incidence favorable de 45,7 M$ découlant de la réduction de la provision au titre de la migration des cartes. Le résultat net, le résultat par action ordinaire et le résultat net ajusté par action ordinaire du trimestre terminé le 30 juin 2015 tiennent compte de l'incidence favorable de l'ajustement de 33,6 M$, déduction faite d'une charge d'impôt sur le résultat de 12,1 M$, apporté à la provision au titre de la migration des cartes.
- Le résultat net, le résultat par action ordinaire et le résultat net ajusté par action ordinaire du trimestre terminé le 30 juin 2015 tiennent compte de l'incidence du gain de 18,6 M$, déduction faite d'une charge d'impôt sur le résultat de 2,9 M$, découlant de la vente du placement dans les actions de catégorie B d'Air Canada.
- Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes du trimestre terminé le 30 juin 2014 tiennent compte d'un montant de 83,4 M$ reçu de l'Agence du revenu du Canada au titre du remboursement d'impôt lié au report en arrière d'une perte au Canada.
- La variation d'un exercice à l'autre ne tient pas compte de l'incidence favorable de l'ajustement apporté à la provision au titre de la migration des cartes au cours du trimestre terminé le 30 juin 2015.
- Sauf indication contraire, l'expression « depuis le début de l'exercice » renvoie au semestre terminé le 30 juin 2015.
- La facturation brute et le BAIIA ajusté excluent le versement unique de 100,0 M$ reçu de TD. Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes excluent le versement unique de 100,0 M$ reçu de TD, le produit d'impôt de 90,9 M$ lié au report en arrière d'une perte et le montant de 22,5 M$ lié à la TVH, montants contrebalancés par le dépôt de 20,7 M$ versé à Revenu Québec.
- Les prévisions présentées ne tiennent pas compte des coûts de restructuration qui pourraient être engagés en 2015 en lien avec le changement de structure des activités annoncé aujourd'hui.
À propos d'Aimia
Aimia Inc. (TSX : AIM) est fournisseur de services de marketing et d'analytique de la fidélité fondés sur des données. Nous fournissons à nos clients les connaissances sur la clientèle dont ils ont besoin pour prendre des décisions commerciales plus éclairées, et pour bâtir à long terme des relations individuelles pertinentes et gratifiantes qui font évoluer l'échange de valeur dans l'intérêt mutuel de nos clients et consommateurs.
Aimia, qui compte quelque 4 000 employés dans 20 pays, forme des partenariats avec des groupes d'entreprises (coalitions) et des compagnies individuelles pour les aider à générer, à recueillir et à analyser des données sur les clients, et obtenir des connaissances pouvant être mises en application.
Nous avons recours pour cela à nos propres programmes de fidélisation coalisés comme Aéroplan au Canada et Nectar au Royaume-Uni, et à la prestation de services axés sur les stratégies de fidélisation ainsi que le développement, la mise en œuvre et la gestion de programmes soutenus par des produits et des plateformes technologiques de premier plan comme la plateforme de fidélisation Aimia et Smart Button, et par l'entremise de nos services d'analytique et de connaissances comme Intelligent Shopper Solutions. Nous possédons dans d'autres marchés une participation dans des programmes de fidélisation comme Club Premier au Mexique, Air Miles Moyen-Orient et Think Big, un partenariat avec Air Asia et Tune Group. Nos clients sont variés, et nous nous démarquons par notre expertise, sans pareille dans l'industrie, des biens de consommation courante, de la vente au détail, des services financiers et des secteurs du voyage et du transport aérien à l'échelle mondiale afin de répondre à leurs besoins particuliers.
Pour consulter la liste intégrale de nos partenariats et investissements et pour obtenir plus de renseignements sur Aimia, visitez www.aimia.com.
Mesures financières hors PCGR
Aimia utilise les mesures financières hors PCGR suivantes qui, de l'avis de la Société, fournissent aux investisseurs et aux analystes des renseignements supplémentaires utiles pour mieux comprendre les résultats et évaluer le potentiel de la Société. Les PCGR désignent les principes comptables généralement reconnus du Canada, qui s'entendent des Normes internationales d'information financière (« IFRS »).
BAIIA ajusté
Le BAIIA ajusté n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat d'exploitation ou au résultat net pour mesurer le rendement et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs. Nous sommes d'avis que le BAIIA ajusté n'est pas directement comparable à une mesure PCGR. Toutefois, un rapprochement avec le résultat d'exploitation est présenté dans notre rapport de gestion. Le BAIIA ajusté est utilisé par la direction pour évaluer le rendement et pour mesurer la conformité aux clauses restrictives relatives à la dette. De l'avis de la direction, le BAIIA ajusté aide les investisseurs à comparer le rendement de la Société d'une manière uniforme, sans égard à l'amortissement et aux pertes de valeur du goodwill, qui de par leur nature sont des éléments hors trésorerie et peuvent varier de façon importante en fonction des méthodes comptables utilisées ou de divers facteurs non liés à l'exploitation tels que le coût d'origine.
Le BAIIA ajusté correspond au résultat d'exploitation, ajusté pour exclure l'amortissement et les pertes de valeur et ajusté en fonction de certains facteurs propres aux activités de la Société, tels que les variations des produits différés et des frais d'échange futurs. Le BAIIA ajusté tient aussi compte des distributions et des dividendes reçus ou à recevoir des placements mis en équivalence. Le BAIIA ajusté ne doit pas être utilisé comme mesure exclusive des flux de trésorerie, puisqu'il ne tient compte ni de la croissance du fonds de roulement, ni des dépenses en immobilisations, des remboursements de la dette et d'autres rentrées et sorties de fonds présentées dans les tableaux des flux de trésorerie.
Résultat net ajusté
Le résultat net ajusté n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat net pour mesurer la rentabilité et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs.
Le résultat net ajusté permet d'évaluer la rentabilité d'une manière cohérente avec le BAIIA ajusté. Il correspond au résultat net attribuable aux actionnaires de la Société, ajusté pour exclure l'amortissement des contrats avec des partenaires d'accumulation, des relations clients et de la technologie, la quote-part du résultat net des placements mis en équivalence et les pertes de valeur comptabilisées. Le résultat net ajusté tient compte de la variation des produits différés et de la variation des frais d'échange futurs, déduction faite de l'incidence de l'impôt sur le résultat et de la participation ne donnant pas le contrôle (le cas échéant) dans ces éléments à l'échelle de l'entité. Le résultat net ajusté tient aussi compte des distributions et des dividendes reçus ou à recevoir des placements mis en équivalence.
Résultat net ajusté par action ordinaire
Le résultat net ajusté par action ordinaire n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat net par action ordinaire pour mesurer la rentabilité par action ordinaire et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs.
Le résultat net ajusté par action ordinaire permet d'évaluer la rentabilité par action ordinaire d'une manière cohérente avec le résultat net ajusté. Il correspond au résultat net ajusté diminué des dividendes déclarés sur les actions privilégiées, divisé par le nombre moyen pondéré de base et dilué d'actions ordinaires.
Flux de trésorerie disponibles, flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes et flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire
Les flux de trésorerie disponibles et flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes sont des mesures non conformes aux PCGR et ne sont pas comparables aux mesures similaires utilisées par d'autres émetteurs. Elles permettent d'établir une mesure cohérente et comparable des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et sont utilisées comme indicateur de la solidité et de la performance financières. Les flux de trésorerie disponibles se définissent comme étant les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, comme ils sont comptabilisés selon les PCGR, déduction faite des ajustements pour tenir compte a) du total des dépenses en immobilisations inscrit selon les PCGR et b) des dividendes versés.
Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se définissent comme étant les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, comme ils sont comptabilisés selon les PCGR, déduction faite des dépenses en immobilisations inscrites selon les PCGR.
Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire sont une mesure des flux de trésorerie tirés des activités d'exploitation, par action. Ils se calculent comme suit : flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes, déduction faites des dividendes versés sur les actions privilégiées et au titre des participations ne donnant pas le contrôle, divisés par le nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation.
Rapprochement avec les PCGR
Pour un rapprochement des mesures financières hors PCGR ci-dessus avec les PCGR, se reporter au rapport de gestion du trimestre et du semestre terminés le 30 juin 2015.
Devises constantes
Les taux de change représentent un facteur important dans la compréhension de comparaisons d'une période à l'autre. La direction est d'avis que la présentation de divers indicateurs financiers en devises constantes ou après la conversion de devises, en supplément des indicateurs financiers réels, contribue à améliorer la capacité de compréhension des résultats d'exploitation et facilite l'évaluation du rendement par rapport aux périodes antérieures. Les informations en devises constantes comparent les résultats entre les périodes, comme si les taux de change n'avaient pas fluctué au cours de la période faisant l'objet de l'analyse. Pour obtenir les résultats en devises constantes, on recalcule les résultats de l'exercice en cours en utilisant les taux de change de l'exercice précédent. Les résultats calculés en devises constantes devraient se rajouter, et en aucun cas se substituer, aux résultats présentés conformément aux PCGR. Par ailleurs, il se peut que les résultats calculés en devises constantes ne soient pas comparables aux mesures semblables utilisées par d'autres sociétés.
Énoncés prospectifs
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs. Ces derniers se reconnaissent en général à l'usage de termes tels que « perspectives », « prévisions », « cibles », « hypothèses » et d'autres expressions semblables, ou à l'emploi de la forme future ou conditionnelle de termes comme « prévoir », « croire », « pouvoir », « estimer », « s'attendre à », « avoir l'intention de », « planifier » ou « projeter ». Ces énoncés peuvent porter, par exemple, sur des stratégies, des attentes, des objectifs, des activités prévues ou des mesures à venir sans s'y limiter.
Les prévisions ci-dessus (dont la facturation brute, le BAIIA ajusté, la marge du BAIIA ajusté et les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes et dépenses en immobilisations) constituent des énoncés prospectifs. Aimia a établi les prévisions ci-dessus à l'aide d'un certain nombre d'hypothèses économiques et de marché, ainsi que des hypothèses concernant les devises et la conjoncture économique des pays dans lesquels la Société exerce ses activités, la concurrence et les lois fiscales applicables à ses activités. La Société tient à rappeler que les hypothèses utilisées pour préparer les prévisions ci-dessus, bien qu'elles étaient raisonnables au moment où elles ont été établies, pourraient s'avérer incorrectes ou inexactes. Les prévisions ci-dessus ne tiennent pas compte non plus de l'incidence que pourraient avoir d'éventuels éléments non récurrents ou exceptionnels ou de nouvelles ententes commerciales importantes, cessions, fusions, acquisitions ou autres regroupements d'entreprises ou transactions susceptibles d'être annoncés ou de se produire après le 14 août 2015. L'incidence financière de telles transactions et de tels éléments non récurrents ou exceptionnels peut être complexe et dépend des faits qui se rattachent à chacun d'entre eux. Nous ne pouvons donc décrire l'incidence prévue de façon complète ou la présenter de la manière dont nous connaissons actuellement les risques auxquels sont exposées nos activités. Par conséquent, les résultats réels pourraient différer considérablement de nos attentes énoncées dans le présent communiqué de presse.
De par leur nature, les énoncés prospectifs partent d'hypothèses et sont soumis à d'importants risques et incertitudes. Les prévisions, les prédictions ou les énoncés prospectifs ne sont pas fiables en raison notamment de la nature évolutive des événements externes et des incertitudes auxquelles les activités et la structure de l'entreprise sont soumises en général. La réalité pourra se révéler très différente des résultats exprimés dans les énoncés prospectifs pour de nombreuses raisons, entre autres la dépendance envers les partenaires d'accumulation importants et les clients, l'incapacité de protéger les bases de données, la cybersécurité et la protection des renseignements personnels des consommateurs, les changements apportés au programme Aéroplan, la dépendance envers les partenaires d'échange, les conflits d'intérêts, un nombre plus élevé que prévu d'échanges contre des primes, la réglementation, la situation de l'économie ou du marché de détail, la concurrence, les problèmes de liquidité d'Air Canada ou les perturbations touchant l'industrie du voyage, des changements dans le secteur du transport aérien et une hausse des coûts des transporteurs aériens, les coûts d'approvisionnement et de capacité, les frais d'échange futurs non provisionnés, les changements aux programmes de fidélisation coalisés, la nature saisonnière des activités, d'autres facteurs et le rendement antérieur, les activités à l'étranger, les poursuites, la dépendance envers le personnel clé, les relations de travail, le passif au titre des régimes de retraite, les pannes d'équipement électronique, l'incapacité d'utiliser les logiciels tiers et l'impartition, l'incapacité de protéger les droits de propriété intellectuelle, les fluctuations des taux d'intérêt et du change (y compris le risque de change sur ses activités étrangères libellées dans une autre monnaie que le dollar canadien, soit principalement la livre sterling et l'exposition aux fluctuations découlant de la variation des cours de change), le niveau d'endettement et les clauses restrictives relativement à la dette actuelle et future, l'incertitude des versements de dividendes, la gestion de la croissance, les notations, les audits effectués par les autorités fiscales de même que les autres facteurs précisés dans les autres documents publics d'Aimia déposés auprès des organismes de réglementation en valeurs mobilières canadiens.
Les énoncés prospectifs contenus dans les présentes témoignent des attentes d'Aimia au 14 août 2015 et ils pourraient changer après cette date. Toutefois, Aimia n'a aucunement l'intention ni l'obligation de mettre à jour ou de réviser les énoncés prospectifs, que ce soit en raison d'une nouvelle information, d'un fait nouveau ou pour toute autre raison, sauf si cela est exigé en vertu des règlements en valeurs mobilières applicables.
SOURCE AIMIA
Analystes et investisseurs, Karen Keyes, 647 428-5280, [email protected]; Médias, Krista Pawley, 416 352-3794, [email protected]
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