Au Canada, l'entrepreneuriat s'intensifie alors que les attitudes et la confiance envers le travail autonome augmentent pour dépasser la moyenne mondiale English
L'ÉTUDE MONTRE COMMENT LE GENRE, LA GÉNÉRATION ET LE NIVEAU D'ÉDUCATION INFLUENCENT LES PERCEPTIONS CANADIENNES
LONDON, Ontario, 14 novembre 2016 /CNW/ - «L'accomplissement personnel», «l'indépendance à l'égard d'un employeur» et «une opportunité de réaliser ses propres idées; voilà quelques-uns des aspects essentiels de l'entrepreneuriat qui attirent les Canadiens quand ils lancent leurs propres entreprises.
Logo - http://photos.prnewswire.com/prnh/20161111/438427LOGO
Le septième Rapport mondial sur l'entrepreneuriat d'Amway (AGER), publié aujourd'hui, mesure le pouls du public au sujet du travail autonome à travers le monde. L'étude faite en 2016 révèle que 88 pour cent des Canadiens interrogés ont une attitude positive à l'égard de l'entrepreneuriat par rapport à la moyenne mondiale de 77 pour cent.
L'optimisme continu depuis 2015 dépend de l'âge, du genre et du niveau d'éducation, et peut expliquer l'importance croissante de tendances mondiales comme l'économie de jobines que l'on connaît également sous le nom d'économie du partage, économie à la demande, économie de pair à pair, nation de pigistes, entre autres. Quel que soit le nom, la tendance d'individus recherchant l'indépendance à l'égard d'un employeur avec une plus grande souplesse est en hausse. Les résultats du rapport AGER 2016 appuient cette tendance, avec 45 pour cent des Canadiens interrogés envisageant un travail autonome plus vraisemblablement dans cinq ans plutôt qu'aujourd'hui et 63 pour cent se disant à l'aise pour rechercher et acquérir des clients ce qui est un élément crucial du travail autonome.
«Les Canadiens soutiennent, respectent et apprécient clairement le rôle des entrepreneurs et de l'entrepreneuriat dans l'économie avec une écrasante majorité de Canadiens ayant une attitude positive à l'égard de l'entrepreneuriat», dit le Professeur Dr. Derek Hassay, University of Calgary Haskayne School of Business, conseiller en éducation AGER d'Amway Canada. «Plus important encore, les Canadiens peu importe leur âge, leur genre ou leur niveau d'éducation ont des points de vue positifs solides concernant l'entrepreneuriat, la plupart reflétant ou dépassant la moyenne internationale.»
Résultats clés de l'étude de 2016
Tandis que l'avenir du travail semble s'orienter vers l'entrepreneuriat plus que jamais auparavant, il y a des tendances perceptibles entre le genre, l'âge et les niveaux d'éducation.
Le genre a une incidence sur l'attrait et la confiance pour lancer une entreprise.
Bien que 43 pour cent des personnes interrogées au Canada pourraient s'imaginer lancer une entreprise (moyenne mondiale de 43 pour cent), les hommes ont une meilleure attitude à l'égard de l'entrepreneuriat (90 pour cent) que les femmes (87 pour cent). En ce qui concerne le genre, 52 pour cent des hommes sont plus susceptibles de lancer une entreprise par rapport à 34 pour cent des femmes. Cependant, entre les deux genres, l'aspiration générale à lancer une entreprise est restée la même au Canada par rapport à 2015. Seulement 56 pour cent des femmes interrogées sont à l'aise pour rechercher et acquérir des clients par rapport à 68 pour cent des hommes.
L'éducation affecte les attitudes à l'égard de l'entrepreneuriat.
L'éducation semble avoir une influence sur le potentiel entrepreneurial des Canadiens interrogés. Les diplômés universitaires (94 pour cent) sont plus positifs à l'égard de l'entrepreneuriat que ceux qui n'ont pas de diplôme (85 pour cent). Les personnes interrogées diplômées (49 pour cent) pensent aussi qu'elles sont plus susceptibles d'avoir un travail autonome dans les cinq années à venir que celles qui n'ont pas de diplôme (43 pour cent). De même, les deux groupes ont déclaré que leurs principales raisons de lancer une entreprise étaient l'indépendance de l'accomplissement personnel et la perspective d'un second revenu. Par ailleurs, les niveaux d'éducation avaient une légère différence dans leur confiance à acquérir des clients pour les diplômés universitaires (64 pour cent) et les non diplômés (60 pour cent).
Les générations plus jeunes font preuve d'un optimisme entrepreneurial plus fort.
Les générations plus jeunes sont plus positives que l'entrepreneuriat est en hausse au Canada par rapport aux générations plus âgées. Les Canadiens interrogés ayant moins de 35 ans montrent un désir significativement plus fort de lancer leur propre entreprise (91 pour cent) par rapport aux plus de 50 ans (84 pour cent). Ce qui est intéressant, c'est que la confiance d'une personne en ses capacités de lancer une entreprise atteint un sommet (59 pour cent) chez les répondants entre 35 et 49 ans. Ce qui est aussi intéressant, c'est que les personnes interrogées de moins de 35 ans sont également légèrement moins convaincues que le travail autonome sera plus répandu à l'avenir (41 pour cent), par rapport à celles qui ont entre 35 et 49 ans (43 pour cent) et celles de plus de 50 ans sont les plus convaincues (49 pour cent).
Le rapport AGER donne encore une fois l'Index de l'esprit entrepreneurial d'Amway (AESI). Présenté en 2015, l'AESI s'appuie sur la théorie du comportement planifié et mesure trois facteurs ayant une influence sur l'intention d'une personne de fonder son entreprise: désir, faisabilité et stabilité face à la pression sociale. Cette année, le score AESI canadien était de 51, au même niveau que l'année passée, et similaire au score mondial de cette année s'élevant à 50. En outre,
- 50 pour cent des Canadiens interrogés souhaiteraient devenir entrepreneur;
- 56 pour cent sont convaincus qu'ils sont préparés pour l'entrepreneuriat;
- 46 pour cent ne perdraient pas espoir en leurs rêves de fonder une entreprise si la famille et les amis y étaient opposés.
En général, les hommes avaient des scores AESI plus élevés (55 pour cent) par rapport aux femmes (46 pour cent) mais l'écart ne cesse de rétrécir. Le niveau d'éducation semble avoir peu d'influence sur le score AESI général car les diplômés universitaires avaient un score de 52 au lieu de 50 pour ceux qui n'avaient pas de diplôme.
Vous trouverez tous les résultats et plus d'informations sur le rapport AGER ici.
À propos du Rapport mondial sur l'entrepreneuriat d'Amway (AGER)
Le premier rapport AGER a paru en 2010 sous le nom de Rapport de l'entrepreneuriat européen d'Amway puis il s'est étendu au niveau international avec le rapport AGER 2013, englobant 24 pays. Le rapport de cette année s'étend sur 45 pays; des entretiens ont été conduits en personne et par téléphone auprès de plus de 50 000 hommes et femmes âgés de 14 à 99 ans.
Le rapport AGER 2016 a été mené par Amway, en partenariat avec la Prof. Dre Isabell M. Welpe de la Chair of Strategy and Organization de School of Management, Technical University de Munich, en Allemagne. Le travail de terrain a été effectué par la Gesellschaft fuer Konsumforschung de Nuremberg, d'avril à juin Les résultats sont partagés avec la communauté scientifique, notamment les 45 conseillers académiques AGER et tous les groupes de réflexion et établissements académiques et publics intéressés.
À propos d'Amway
Amway est une entreprise de vente directe pesant 9,5 milliards de dollars, basée à Ada, dans le Michigan, aux États-Unis. Les marques Amway les plus vendues sont les vitamines, minéraux et suppléments nutritifs NutriliteMC, les soins de la peau et les cosmétiques de couleur ArtistryMC et les systèmes de traitement de l'eau eSpringMC, tous vendus exclusivement par les Propriétaires de Commerce Amway. Les ventes mondiales en 2015 ont fait d'Amway l'entreprise de vente directe n° 1 au monde, selon Direct Selling News 2016 Global 100. Le chiffre des ventes annuelles de la compagnie comprend le revenu des activités de vente directe et d'autres avoirs commerciaux.
SOURCE Amway North America
Carmela Ianni, 519 685-7888 poste 7925, [email protected]
Partager cet article